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Le 14 avril 1870, nomination de Madame Lauquet comme membre correspondant de la société d'agriculture, des sciences et des arts de Poligny. Née le 17-11-1805, âgée de 65 ans, 2 ans après la mort de son époux, Madame Veuve LAUQUET, directrice des Bains Saint Pierre près Dax et le docteur BOUTIN docteur en médecine à Aire sont nommés membres correspondants de la société d'agriculture, des sciences et des arts de Poligny (Jura)Dans son règlement intérieur, la Société précise : Toute demande d'admission dans la société devra être accompagnée soit d'un travail manuscrit ou imprimé, soit d'une oeuvre d'art, soit d'un don. Mais il n'est pas précisé ce que Madame LAUQUÉ et le Docteur BOUTIN ont apporté pour leur admission : un manuscrit, une oeuvre d'art ou un don ? (cf : 1870/14-4, société d'agriculture, sciences et arts de Poligny, Jura - 11ème année - 1870, p. 109) 

 

            Ce sont MM. Ie Docteur Tamisier (médecin major au ler régiment du train d'artillerie de Poligny) et Jules Léon (pharmacien à Peyrehorade et membre du Conseil d'hygiène des Landes, auteur de la flore landaise) qui proposent le sdeux noms : Madame Veuve LAUQUET, âgée de 65 ans, directrice des Bains Saint Pierre à Dax et Ie docteur BOUTIN docteur en médecine d'Aire sont nommés membres correspondants de la société d'agricuiture, des sciences et des arts de Poligny (Jura). Dans son règlement intérieur, la Société précise que toute demande d'admission dans la société devra être accompagnée soit d'un travail manuscrit ou imprimé, soit d'une oeuvre d'art, soit d'un don. Les archives départementales du Jura consultées, signalent que le Docteur Boutin a offert sa thèse de médecin; mais ne  disent rien pour Madame Lauquet.

            C'est Ie Docteur Emile-Louis "lBertherand (né Ie 14/08/1821 à Valenciennes-Nord) qui a fondé cette société à Poligny ainsi qu'une bibliothèque et un musée. Lors de son sejour en Algérie française, il a non seulement fondé l'école de médecine et de pharmacie. II a aussi étudie et classé 90 sources thermo-minérales en Algérie. C'est peut-être là le lien avec Madame Veuve Lauquet : Ie thermalisme. (Société d'Agriculture, des Sciences et Arts de Poligny, Jura, 1870, lleme annee, p. 109)

 

dès 1870, David Chabas, dans son livre "les Landes autrefois" remarque :  "les établissements de bains se multiplient à Dax". (référence ?)

 

Le 11 mai 1870, naissance de Edouard, Jean Rémi Jean Baptiste, à la caserne de Montfort en Chalosse, fils de Jean Baptiste DEFOUG et Marie Jeanne DEFOUG née LAUQUÉ. Il est devenu médecin militaire puis gérant des Bains Saint Pierre. il avait 41 ans au moment de décès de sa mère Marie Jeanne LAUQUÉ, épouse DEFOUG.

 

Le 28 juin 1870, (16 ans après l'achat, maire Hector Serres) - refus de la mairie d'accorder le périmètre de sécurité aux Bains Saint Pierre. Dossier relatif au périmètre de protection demandé par les consorts Lauquet pour leur établissement thermal. Après avoir constaté que ce nouveau périmètre englobe abusivement une partie de la ville et une grande part des jardins de Saint Pierre, le conseil : - considérant que déjà par délibération du 17 Août, il a été d'avis de rejeter la demande des consorts Lauquet alors que le périmètre semblait être réduit aux seules limites de la propriété du pétitionnaire;- que les mêmes motifs existent toujours et qu'il sont augmentés par une extension du périmète exagérée que rien ne saurait justifier, Vote à l'unanimité que le périmètre ne soit pas accordé. (cf : Mairie de Dax, registre des délibérations du conseil municipal, mai 1863-mai 1872, 1 D 15, page 480)

 

Le 28 juin 1870, la Mairie refuse d'accorder la déclaration d'utilité publique et périmètre de protection aux consorts Lauquet Saint Pierre pour leur établissement thermal. Cette demande était motivée par la crainte des retombées néfastes du forage Lorrin sur la place Saint Pierre ! Elle craignait aussi que les travaux projetés par la ville : démolition  des remparts Est et création de nouvelles rues  ne semblent donner satisfaction qu'à quelques intérêts privés et portent atteinte à l'activité de son établissement. Le refus de la Ville est motivé par : les empiètements et occupations des propriétés communales par les Bains Saint Pierre au niveau de l'escalier et de la terrasse qui conduit aux remparts, d'une fontaine et de l'assiette d'une tour démolie et l'installation d'une passerelle sur l'escalier qui conduit aux remparts. Le Conseil Municipal décide d'intenter une action de justice.  (Mairie de Dax, registre des délibérations du conseil municipal, 1 D 15, page 480)

Le puits Lorrin, place Saint Pierrre inquiétait aussi les habitants du quartier puisque plus tard, le 17 mai 1878 (mairie de Dax, répertoire des séances du consel municipal, 1 D 104) et le 15 janvier 1886, ils envoient une pétition relative au puits d'exploitation de la place des  salines en demandant s'il y a une sécurité pourles habitants de la ville.  En 1886, le Conseil Municipal soutient la populztion et demande au réfet d'interdire la freprise de l'exploitation.  (mairie de Dax, répertoire des séances du consel municipal, 1 D 105)

 

Juillet 1870, à la place des Bains Bibi, le Dr Delmas avec le Dr Larauza installent les Grands Thermes qui ouvrent leur porte en juillet 1871 (cf : Christophe Belser, 2009, Dax il y a 100 ans, Éd. Patrimoines et médias, p. 64)

 

1871, c'est la fin du démantèlement des remparts commencé en 1852 (discours de gardilanne)

 

1871-1872, à l'occasion des nombreuses explorations pour trouver les mines de Sel gemme à Dax, l'ingénieur des mines de Pau, M. Genreau fait remarquer : qu'il existe dans le sol, au niveau de la fontaine Chaude de Dax, des sources chaudes des bains Lauquet, de la rive gauche de l'Adour à l'établissement des baignots , une grande ligne de fracture, une faille donnant passage aux eaux thermales… (cf : M. Genreau, ingénieur des mines à Pau, 1871/1872, Note sur le site de sel gemme de Dax, Bulletin de la société des sciences, lettres et arts de Pau , IIè série, Tome 1er, p. 50)

 

Le 24 mars 1871, (maire : Eugène de Gardilane), au sujet de l'affaire Lauquet. Sur proposition du Maire, création d'une commission chargée de faire un rapport sur les questions pendantes entre la ville et la famille Lauquet. (cf : Mairie de Dax, registre des délibérations du conseil municipal, 1863-1872, 1 D 15, p. 520) 

le 24 mars 1871, pour régler les nombreux différents avec les Bains Saint Pierre, sur proposition du Maire, il est créé d'une commission chargée de faire un rapport sur les questions pendantes entre la ville et la famille Lauquet. (Mairie de Dax, registre des délibérations du conseil municipal,  1 D 15, p. 510). C'est donc une reconnaissance des nombreus différents entre la mairie et les Bains Saint Pierre.

 

 

Le 17 avril 1871, Démolition des remparts Est et refus des Bains Saint Pierre de laisser occuper leur terrain par l'entrepreneur démolisseur. Monsieur le Maire donne lecture au Conseil Municipal d'une lettre de l'entrepreneur de la démolition des remparts Est qui signale l'opposition incessante des consorts Lauquet aux travaux en exécution au regard de leur propriété. Il fait connaître les nombreuses démarches que l'administration communale a faite auprès de ces propriétaires pour obtenir l'autorisation amiable à l'effet d'occuper temporairement d'une partie des fossés moyennant une juste indemnité. Il communique un acte extra judiciaire duquel il résulte au contraire leur intention formelle de s'opposer à toute occupation et d'enrayer ainsi la continuation de l'entreprise. Le Conseil Municipal considérant que l'entrepreneur ne saurait être interrompu dans ses travaux que la ville à intérêt d'en protéger l'exécution prie Monsieur le Préfet d'autoriser d'office l'occupation temporaire d'une partie des fossés appartenant aux consorts Lauquet d'une contenance de 300 m2 mesuré et confronté conformément au plan dressé par l'architecte de la ville et qui devra être annexé à la présente à la charge de payer aux consorts Lauquet à l'amiable ou par la voie légale, l'indemnité qui pourra leur être dûe pour cet effet. (cf : Registre des délibérations du Conseil Municipal, 1863-1872, 1D15, p. 514)

A partir du 17 avril 1871, l'expropriation des terrains Lauquet se fait à travers des pourparlers incessants et des actions en justice.  La famille Lauquet se voit expropriée d'une partie de ses terrains  pour la construction de la rue du théatre (actuellement cours julia Augusta) ouverte suite à la destruction des remparts Est. "Monsieur le Rapporteur de la Commission des affaires diverses conclut au maintien des précédentes délibérations qui fixent le tracé du prolongement de la rue de la Fontaine Chaude vers le Boulevard Saint Pierre à travers les remparts démolis et demande qu'il soit procédé à l'expropriation pour cause d'utilité publique du terrain nécessaire à l'assiette de cette voie et au talus qui en dépendra ... après l'accomplissement des formalités légales" (Mairie de Dax, registre des délibérations du conseil municipal,  1 D 15, p. 515 )

 

Dès 1871, 17 ans après l'achat, la famille Lauqué se voit expropriée d'une partie de ses terrains pour la construction de la rue du théatre (actuellement cours julia Augusta). On imagine que la gestion d'un établissement de bains autrefois devait donner certainement des satisfactions à leurs propriétaires privés mais aussi devait apporter quelques soucis, comme aujourd'hui d'ailleurs, aussi bien avec les concurrents qu'avec les gestionnaires de la cité, surtout si l'on était une femme ! On comprend donc que Madame Veuve Lauqué ait été obligée de faire appel à des tiers, même à le justice, pour se faire entendre Elle ne fut pas la seule ! 

 

 

11 février 1871, Installation de la municipalité et discours du maire, Gardilane. Mr le sous préfet prononce quelques paroles bienveillantes à l'adresse de la municipalité et du Conseil auquel il donne l'assurance de son entier dévouement aux intérêts de la ville. Envoyé par le gouvernement pour présider au sincère développement des institutions actuelles essentiellement républicaines il ne faillira pas à sa tâche… Mr le Maire répond en quelques mots que Mr le Sous Préfet peut compter en effet sur le concours de la municipalité et du Conseil pour tout ce qui a trait à la consolidation du Gouvernement et de la République…Mr le sous préfet prend congé.

Mr le Maire en prenant possession du fauteuil de la présidence prononce l'allocution  suivante :

Mrs et chers collègues, Avant de commencer les travaux de notre session, permettez moi et que nos nouveaux collègues me permettent de jeter un rapide coup d'oeil sur les travaux accomplis par nous à votre votre constante collaboration depuis que le suffrage de nos concitoyens nous a investi de notre mandat. L'exposé ne sera point inutile et répondra aux critiques de ceux qui seraient tentés de nous accuser de n'avoir pas veillé avec sollicitude sur les intérêts de notre chère cité et d'avoir voulu soustraire notre conduite à l'examen de nos mandants; il nous fera voir aussi le chemin que nous avons parcouru et celui que nous avons encore à parcourir pour remplir toute notre tâche et pour répondre aux légitimes désirs de nos concitoyens.

- Nous avons fait procéder à la démolition des remparts Est. Le projet de cette démolition avait été acceptée longtemps avant notre administration; mais leur exécution avait provoqué vous vous le rappelez de vifs débats et une violente opposition. Aujourd'hui l'utilité de ce travail a été reconnue  par tout le monde et c'est à peine si quelques savants trop amoureux des antiquités exhalent quelques questions et regrets au sujet de la porte Julia disparue.

La démolition des remparts nous a permis d'ouvrir une voie nouvelle, vous savez au prix de quel sacrifice imposé à nos finances par une trop coûteuse expropriation (il s'agit là de la famille Lauquet qui a reçu 40 000 F pour son terrain exproprié). La rue du Théatre a été prolongée; le boulevard et la place Saint Pierre ont été l'objet de travaux importants et l'on peut dire que ce quartier où s'élève chaque jour de nouvelles constructions est aujourd'hui une des mieux aérés et des plus habitable.

La rue de l'Ecole est presque terminée; l'établissement de l'école laïque a été reconstruit à neuf; avec l'achat de la maison Dupérieur nous avons pu élargir la rue des Pénitents.; la rue des Carmes, de la Fontaine Chaude à Saint Vincent et Saint Pierre a été repavée et munie de trottoirs, des matériaux sont réunis pour que ce travail s'opère dans d'autres rues. 

La démolition des remparts Sud et Ouest de la terrasse de l'ancinene préfecture à été achevée malgré de vives protestations. Ces protestations ont heureusement cessé lorsqu'on a pu apprécier avec sang froid l'utilité et le résultat de ce travail. Aujourd'hui, il existe sur l'emplacement d'une partie de ces anciens remparts, un large passage fréquenté par de nombreux piétons et qui facilite la communication des habitants du quartier Saint Pierre avec la cathédrale, la halle et le centre de la ville dont ils se sont en quelque sorte rapprochés. Ces remparts démolis, nous avons remblayé les fossés et commencé les travaux d'appropriation d'un square qui sera un des embellissements  de la cité.

Avant de nous occuper du Bd de la Marine et de le régulariser sur tout son parcours par un large trottoir nous avons attaqué la poudrière et opéré le remblai de la place Poyanne pour que ce quartier ne nous offre plus rien à faire, il nous faut enlever la fermeture de bien des propriétaires et le dernier travail sera bientôt exécuté. 

L'élargissement de la rue des Capucins nous occupe en ce moment et le passage au travers de l'ancien cimetière ne tardera pas à être ouvert , à la suite viendra le prolongement du chemin jusqu'à la rencontre du chemin vicinal n° 5. Il sera nécessaire d'acquérir une parcelle de tarrain et nous avons l'espérance de traiter à l'amiable avec son propriétaire. A Saint Vincent il a été construit des annexes à l'école des garçons et des filles. 

Au Sablar, la rue de la gare a été améliorée et élargie, la place Sud Ouest a été terminée et ce quartier n'aura plus rien à envier au reste de la ville lorsque les quais à la construction desquels la caisse municipale a grandement participé, seront entièrement achevés.

Les plantations de l'allée des Baignots ont été renouvelées. Malheureusement une partie de cette agréable promenade est constamment endommagée par le passage des charrettes qui sont obligées de la traverser pour porter des matériaux du bord de l'Adour à St Vincent. Un tel désagrément ne se produirait pas si comme vous l'aviez demandé par votre délibération du 13/11/1876 il avait été construit vis à vis du chemin vicinal n° 5, une cale de débarquement pour desservir directement le quartier Saint Vincent. Mr l'ingénieur des Ponts et Chaussées au dévouement et au zèle desquels vous avez en maintes circonstances rendu un public hommage que je lui renouvelle, n'a pas cru devoir formuler un avis favorable à votre juste demande, elle a été repoussée mais nous ne désespérons pas qu'une prochaine satisfaction vous sera donnée.

 

 

Le 17 avril 1871, (17 ans après l'achat, maire : Eugène de Gardilane) Expropriation pour cause d'utilité publique d'une partie des terrains LAUQUET. Monsieur le Rapporteur de la Commission des affaires diverses conclut au maintien des précédentes délibérations qui fixent le tracé du prolongement de la rue de la Fontaine Chaude vers le Boulevard Saint Pierre à travers les remparts démolis et demande qu'il soit procédé à l'expropriation pour cause d'utilité publique du terrain nécessaire à l'assiette de cette voie et au talus qui en dépendra ... après l'accomplissement des formalités légales (cf : Mairie de Dax, registre des délibérations du conseil municipal, 1863-1872, 1 D 15, p. 515 )

 

Le 17 avril 1871, Lors de la démolition des remparts Est, Madame Lauquet des Bains Saint Pierre refuse de laisser occuper leur terrain par l'entrepreneur démolisseur.

"Monsieur le Maire donne lecture au Conseil Municipal d'une lettre de l'entrepreneur de la démolition des remparts Est qui signale l'opposition incessante des consorts Lauquet aux travaux en exécution au regard de leur propriété. Il fait connaître les nombreuses démarches que l'administration communale a faite auprès de ces propriétaires pour obtenir l'autorisation amiable à l'effet d'occuper temporairement d'une partie des fossés moyennant une juste indemnité. Il communique un acte extra judiciaire duquel il résulte au contraire leur intention formelle de s'opposer à toute occupation et d'enrayer ainsi la continuation de l'entreprise. Le Conseil Municipal  considérant que l'entrepreneur ne saurait être interrompu dans ses travaux que la ville à intérêt d'en protéger l'exécution prie Monsieur le Préfet d'autoriser d'office l'occupation temporaire d'une partie des fossés appartenant aux consorts Lauquet d'une contenance de 300 m2 mesuré et confronté conformément au plan dressé par l'architecte de la ville et qui devra être annexé à la présente à la charge de payer aux consorts Lauquet à l'amiable ou par la voie légale, l'indemnité qui pourra leur être dûe pour cet effet." (Registre des délibérations du Conseil Municipal, 1D15, p. 514)

 

Il semble que l'occupation du terrain Lauquet pour la démolition des remparts Est n'eut jamais lieu. Madame Veuve Lauquet  a-t-elle permis, avec d'autres personnes, par son refus, de sauver la partie des remparts est encore debout derrière les Bains Saint Pierre à une époque où d'autres ont fait preuve "de vandalisme historique" (Jean Vergès, La démolition des remparts de Dax, 1977, Ed. Castay, p.13,14. Extrait du bulletin de la société de Borda, à compléter)

 

En imaginant la destruction de la muraille derrière les Bains Saint Pierre, on peut  comprendre la crainte des Bains Saint Pierre de voir leur propriété abimée par ces gigantesques travaux de démolition de remparts. 

 

Juillet 1871, C'est l'ouverture des Grands Thermes. Il faut signaler que si la source jaillit directement dans une salle où les curistes viennent respirer les vapeurs, c'est un immense établissement qui pour son alimentation a besoin des eaux d'autres sources notamment de la fontaine chaude et des boues du Roth et du trou des pauvres pour remplir ses cuves. Le souhait de la ville de 1860 se réalise : création d'un grand établissement moderne de luxe capable de répondre aux besoins d'une clientèle aisée : 3 classes de soins au sous sol , hôtel (avec ascenseur) sur plusieurs étages ; les curistes ne sont plus obligés de sortir de l'établissement pour leurs soins. (cf : Christophe Belser, 2009, Dax il y a 100 ans, Éd. Patrimoines et médias, p. 64)

Les grands thermes donnent des idées à d'autres investisseurs (cf : Christophe Belser, 2009, Dax il y a 100 ans, Éd. Patrimoines et médias, p. 67)

 

21 Août1871 -M. Delmas demande au génie militaire un terrain  place Sainte Marguerite pour faire un jardin 

référence ?

 

1871-1872, à l'occasion des nombreuses explorations pour trouver les mines de Sel gemme à Dax, l'ingénieur des mines de Pau, M. Genreau fait remarquer : qu'il existe dans le sol, au niveau de la fontaine Chaude de Dax, des sources chaudes des bains Lauquet, de la rive gauche de l'Adour et de l'établissement des baignots , une grande ligne de fracture, une faille donnant passage aux eaux thermales… (cf : M. Genreau, ingénieur des mines à Pau, 1871/1872, Note sur le site de sel gemme de Dax, Bulletin de la société des sciences, lettres et arts de Pau , IIè série, Tome 1er, p. 50)

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