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Circuit 2 -au sud de l'avenue Francis Planté

de l'avenue Victor Hugo à la rue d'Aspremont

VOLTAIRE (rue de) école gischia

 

PEYROUTON (rue de)nommée en 1966 - autrefois quartier Peyrouton,  aujourd'hui quartier du Gond, en gascon pierre - nom de maison ou de ferme devenue lieu dit lors de l'extension de la ville (Dax au fil des rues – centre généalogique des Landes) (mettre photo de l'octroi) 

Derrière le Cassourat (« plantation de chênes », ancien boulevard devenu Cours Joffre),était au XIXème siècle un faubourg de la ville. La maison de Peyrouton, construite au XVIIIème siècle, changea plusieurs fois de propriètaires.En 1818, elle était acquise par Jean-Baptiste Pardaillan, chef de bataillon en retraite. Lorsque l’impératrice Eugénie s’arrêta en gare de Dax pour inaugurer la ligne de chemin de fer, Julien Bonnecaze, conseiller municipal, lui offrit un bouquet de fleurs cueillies dans la serre de Peyrouton. La fille de celui-ci épousa le député Gustave Loustalot auquel un nom de rue fut attribué en 1935. C’est aujourd’hui le boulevard de Cuyès. Cuyès, devenu boulevard, était autrefois un immense dépotoir dans lequel poussaient, au milieu des détritus végétaux, de nombreuses citrouilles, d’ou le nom qui en est la traduction gasconne(« champ de citrouilles »).

Octroi de Peyrouton

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SANCHE Guillaume (rue)  â€¨C'est après la mort de son frère ainé qu'il devint comte de Gascogne, vers 960, puis celle de Guillaume le Bon, en 977, lui permit d'obtenir, avec le comte bordelais, le titre de duc. II combattit les Musulmans en Espagne aux côtés du roi de Navarre, et les Normands en Gascogne, puis fit restaurer ou fonder plusieurs établissements monastiques, dont I'abbaye de Saint-Sever. A celle-ci on a associé son voeu à la légende contestée d'une bataille suivie d'une victoire sur les Normands, vers 982 près de "Taller". C'est vers la fin de son règne, où la Gascogne fut à son apogée, qu'allaient naître les premières vicomtés, parmi lesquelles celle de Dax (Dax au fil des rues - centre généalogique des Landes)Guillaume Sanche de Gascogne né vers 950, décédé en 996 est issu de la famille Sanche qui règne depuis le début du Xème siècle, au moins, sur la partie occidentale de la Gascogne.Son mariage avec Urraca, sœur du roi Sanche III de Navarre va resserrer les liens avec les pays du versant sud des Pyrénées.Il devient duc de Gascogne vers 977.Doté de ce titre, Guillaume Sanche va réorganiser complètement la partie occidentale de la Gascogne qui avait été mise à mal par 2 siècles d’invasions.Sa première étape fut d’éradiquer la présence normande sur le littoral Atlantique. 

Ce fut chose faite suite à sa victoire décisive sur les Vikings à Taller (à 18 km de Dax), dans les Landes vers 980.Libéré de ses envahisseurs la Gascogne landaise pouvait recevoir un cadre religieux. Guillaume Sanche fonda dans la région 

l’Adour le monastère de Saint Vincent de Lucq, puis l’Abbaye de Saint Sever vers 988 et enfin l’Eglise Sainte Marie de Lescar.Il va également former un grand évêché de Gascogne.Cette restructuration religieuse ne doit cependant pas cacher la tâche militaire de ces fondations. Ainsi ces «  monastères guerriers » permettaient d’asseoir solidement le pouvoir ducal. C’est peut-être pour cette raison que Guillaume Sanche a créé les vicomtés, dont les plus importants, en cette fin du Xème siècle, sont ceux du Béarn, d’Oloron, de Dax et de Marsan.

SEL GEMME (rue du) - nom confirmé en 1935 - industrie locale - voir aussi à Lorrin -  ancienne route de peyrehorade - parc du sarrat  (quartier du gond) 

Le parc du sarrat - La maison, les dépendances, ainsi que le parc sont inscrits au titre des monuments historiquespar arrêté du 11 janvier19911.La propriété remonte au début du xixe siècle, avec un jardin à la française, entouré d'un domaine agricole. Elle a appartenu à René Guichemerre, architecte DPLGà Paris, qui s'investit dans le Sarrat reçu comme héritage à la mort de son père en 1941. Il vient habiter le site à partir de 1950. Il ne cessera plus de penser, de dessiner, de construire et de restaurer ce jardin.

Jardin botanique de 1200 arbres de 120 espèces différentes et de 900 arbustes de 200 espèces différentes !
Promenade le long des sentiers pour découvrir la beauté architecturale et botanique

Histoire: Domaine et maison du 19e siècle où vient habiter l'architecte René Guichemerre après des études à Paris. L'architecte se construit une nouvelle maison en 1960. Il y installe son cabinet et aménage le parc de trois hectares, lui donnant une grande richesse botanique avec, notamment, une allée de palmiers. La maison et le parc sont légués à la ville de Dax à la mort de l'architecte en 1988.

Précisions: Maison, dépendances et parc (cad. BE 105) : inscription par arrêté du 11 janvier 1991

Adresse: 12 boulevard du Sarrat

Type : Monuments historiques

Epoque : 3e quart 20e siècle

Année de construction : 1960

Eléments protégés : communs ; serre ; jardin botanique ; bassin ; arbre

Auteur(s) : Guichemerre René (auteur commanditaire)

HLM Cuyès - la part de la populaton la plus importante se situe dans la tranche 0 à 19 ans : 29% de la population du quartier (17,2 de la populaton de la ville) alors que les 60 ans et plus ne représente que 17% dela populaton du quartier  (31,2 sur la ville de Dax)   

 

FERTÉ (rue de la ) nommée en 1961 - lieu dit

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BONNAT (rue)nommée en 1961 - quartier  du Pribat - célèbre peintre français

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SARRAT (boulevard du)  nomination ancienne 1860-1890  devenue lieu dit lors de l'augmentation du nombre de rues à Dax - nom de maison ou de ferme - en gascon : serre, endroit étendu en longueur. (Dax au fil des rues - centre généalogique des Landes)

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MINES DE POTASSE (rue des) en souvenir d'une industrie locale

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MINEURS (passage des) nom de métier

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PINS (rue des) rue nommée en 1935

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PINEDE (rue de la) nommée en 1961 - lieu dit

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CHAMBRELENT (rue)

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LOUCHEUR (boulevard) groupe scolaire des pins

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BREMONTIER (rue)

salle Charrière Amélie - salle née à  Amelie SaintSaint-Ges Amou 24.05.1941 Dax - 18.07. 1976 - (quartier du gond) Bienfaitrice, elle fit de son vivant des dons pour les necessiteux du quartier du Gond ou elle habitait, puis leguait ses biens a I'amicale de ce quartier. lis contribuerent pour une grande part à la construction d'une salle inauguree Ie 11 novembre 1981, a laquelle son nom fut donne. y-a-t-il yne rue A.Charrière ?

HUGHES de Bazas, Pierre (rue) H7-6 - rue nommée en 1961.Village des pins  -Inventeur du pot de résine -Fils d'un avoue a la cour de Bordeaux, Hugues fait des etudes a I'ecole de Droit de Paris et est avocat a Bordeaux en 1822. Ayant peu de gout pour Ie metier d'avocat, il achete en 1823 a Pessac, aux portes de Sordeaux, Ie domaine de Bos qu'il s'applique a mettre en valeur. D'esprit inventif, il fabrique en 1832 un type de ~emoir qui n'est pas adopte. En 1844, apres bien des tatonnements, iI a I'idee d'une methode nouvelle de recolte de la resine : au lieu de la laisser couler jusqu'au pied de I'arbre, dans un simple trou, Ie crot, ou elle eta it melée à toutes sortes d'impuretes, elle serait recueillie dans un pot de terre cuite ; puis il songe a accrocher Ie pot (memoire des Landes - Bernadette Suau) .
Victime de !'incomprehension des gemmeurs, son invention, qui allait revolutionner les techniques de recolte, ne se generalisera qu'apres sa mort (Dax au fil des rues - centre genealogique des Landes)

à lire : 

- Centenaire de l'invention du pot à résine par Pierre Hugues, Société de Borda, Dax,1946

- Le Vieux Saint Esprit, souvenir d'un bayonnais, rééd. impr. du Labourd, Bayonne, 1983, p. 205

CUZACQ Pierre, Notice biographique sur Piere Hugues, Bull. S.S.I. A. de Bayonne, 1899

CUZACQ René, Propos landais et bayonnais, D. Chabas, Hossegor, 1932, p. 188-191

laborde Léonard, "Hugues", revue des Basses-Pyrénées et des Landes, 1883-1884, p. 513-517

 

BOURNAZEL (rue) terrain de sport du gond

nommée en 1966 - quartier Village des pins, du lotissement Dax Afrique, rue des pins à la rue Ch de Foucault.

Henri de Bournazel1, (ou Henri, comte de Lespinasse de Bournazel, dit l'Homme Rouge), militaire français né à Limogesle 21février1898, mort le 28février1933dans les montagnes du Jbel Saghro, région berbère du Sud du Maroc, lors des guerres de pacification du Maroc. Il fit l'objet dans les années 1930 à 1950 d'un véritable culte patriotique, devenant pour certains le modèle du jeune officier.

Né le 21 février1898, à Limogesdans une famille de militaires, le jeune Henri de Bournazel est très vite séduit par le métier des armes, et ressent des désirs d'évasion, particulièrement auprès d'un oncle, officier d'infanterie colonialequi lui ouvre des visions de pays exotiques.

Première Guerre mondialeLa Première Guerre mondialeéclate alors qu'il n'a que seize ans, frustré de ne pouvoir s'engager à son âge, il se jette dans les études et prépare assidûment l'école militaire de Saint-Cyr. Lorsque son père, colonel, part avec son unité, le 1errégiment de chasseurs d'Afrique, vers le front d'Orienten janvier 1916, il lui arrache l'autorisation de s'engager pour le 4erégiment de hussardsà Brissac-Quincé(près d'Angers).

La vie en casernement, à l'arrière, est loin de lui apporter toutes les joies qu'il attendait. Son âge lui interdit de monter au front, jusqu'en juin 1917 où son régiment emmène le jeune brigadier dans la région de Reims. Toujours volontaire pour les patrouilles de reconnaissance, il découvre enfin la « vie rêvée », avant d'aller se ressourcer quelques jours au château de Bournazel, en Corrèze, lieu idyllique de son enfance, puis d'entrer à Saint-Cyr. Malgré les attraits de la vie d'école, il n'a qu'un désir : aller au combat.

En mars 1918, promu au grade d’aspirant, il retrouve enfin la « vie rêvée », au 4ehussards qui fait bientôt mouvement vers la zone de Château-Thierry. Mais, atteint de la grippe espagnole, il passe quelques semaines de convalescence au château de ses pères, avant de rejoindre le front en septembre restant jusqu'à l'armisticeà l'extrême pointe du combat, obtenant brillamment la croix de guerrepour une action audacieuse le 10 novembre, et faisant encore trois prisonniers le matin du 11 novembre.

La vie en garnison dans la zone allemande occupée fait retomber son enthousiasme. Puisqu'on se bat au Maroc, il parvient à obtenir, en même temps que le grade de lieutenant, son affectation à la disposition du général en chef commandant les troupes françaises au Maroc et il embarque le 20 juin 1921 sur le Volubilis.

Le Maroc

Depuis la mise en place du Protectoraten 1912, le maréchal Lyauteyy est résident général. Bien que l'armée française soit très présente dans le pays, de nombreux mouvements de résistance se lèvent dans tout le Maroc et s'opposent à la "pax francesa", particulièrement dans les régions montagneuses du Rif, et de l’Atlas. Henri de Bournazel rencontre le maréchal Lyautey à Casablanca et obtient en janvier 1922 une affectation au 8espahisalgériens à El Arba-Tahala, qu'il rejoint après avoir visité RabatMeknèset Fès. Il commence son acclimatation à la vie marocaine en assurant avec son escadron la protection des convois dans les défilés rocheux. C'est alors que le commandement décide de réduire la « poche de Taza » déjà entreprise l'année précédente, dans le Moyen Atlasautour du village de Skoura, fief de la rébellion.

Henri de Bournazel, muté au 22espahismarocains, basé à Médiouna, près de Casablanca, va pouvoir enfin participer aux engagements, insistant pour prolonger son séjour au Maroc.

El Mers

Le repaire des tribus guerrières des Marmouchaet Aït Seghouchen se tient dans le massif du Tichchoukt qui culmine à 2 800 mètres, et la position de Skoura est verrouillée au sud par le village d'El Mers qui commande l'accès par le col de Tigoulmamine.

Au mois de mai 1923 sous le commandement du général Poeymirau- « le père Poey » - l’encerclement du massif est entrepris, et de sévères accrochages se succèdent montrant l’opiniâtreté des guerriers tribals adverses.

À l’extrême pointe de l'avant garde, le peloton d’Henri de Bournazel va connaître le 20 mai le véritable contact avec l'ennemi ; pour la conquête de l’éperon de Bou Arfa - au sud du massif du Tichchoukt - la bataille va durer toute la journée à travers des taillis épais ; la confusion s’accroît avec un brouillard intense qui couvre bientôt la région. Les Berbèreschargent au poignard, et les troupes françaises se dégagent à la baïonnette. De cette journée, « Henri de Bournazel a eu sa part de baroud. Déchaîné, grisé, riant d’un grand rire heureux, il a chargé à la tête de ses hommes en chantant - ce qui deviendra pour lui une sorte d’habitude ».

Les pertes ont été sévères de part et d'autre; et dès le 9 juin une seconde phase se met en marche pour prendre pied sur le plateau de Bou-Khamouj qui domine et défend El Mers : nouvelle journée de combats très durs dans un terrain difficile et très boisé. « Ici, encore Henri de Bournazel a été de la fête ! Pas un instant, il n'a quitté l'extrême pointe avancée; il la mène à sa façon qui bientôt va devenir célèbre dans toute la troupe : avec un entrain débordant, exultant d'une joie puissante, gouaillant, riant, chantant, vêtu de pourpre, téméraire et élégant, impeccable et débridé tout ensemble. Adoré de ses hommes et admiré de ses compagnons, il est en train de créer chez eux la mystique du chic et de la bravoure de Bournazel ».

Enfin, troisième temps de la campagne, il faut emporter El Mers, où l'ennemi s'est replié en force. Dès l'aube du 24 juin, le groupement se met en marche avec à sa tête en éclairage l'escadron Bastien, dont l'élément le plus avancé est le peloton du lieutenant Henri de Bournazel ; à huit heures, le « père Poey », arrivé sur les lieux, donne l'ordre de poursuivre la progression.

À peine remis en route, l'escadron Bastien est violemment pris à parti; de toutes parts, les Berbères surgissent des champs d'orge ; engageant le combat à l'arme blanche. Bientôt, le lieutenant Berger est tué et le capitaine Bastien grièvement blessé.

Henri de Bournazel prend alors le commandement de l'escadron et la direction du combat, et malgré une blessure légère à la tête, qui lui couvre le visage de sang, il entraîne ses hommes derrière lui, et dans un assaut final poursuit l'ennemi qui recule. Il atteint le premier le sommet qui domine El Mers en entonnant un air de fox-trot à la mode : « The love need », rapporte son camarade, le lieutenant Durosoy, qui, arrivant sur la crête, le hurle en réplique.

Et le soir, dans la ville conquise, sous la guitoune du prince Aage du Danemark, commandant d’une des compagnies de Légion, les jeunes officiers encore enfiévrés par cette journée tumultueuse se réunissent autour d’un banjo, pour célébrer la victoire.

Déjà lors des combats précédents, l’adversaire remarquait ce cavalier en tunique rouge toujours en tête de ses troupes ; mais à El Mers commença de se forger la légende de son invulnérabilité, de sa baraka qui écarte les projectiles et dans les années qui suivent, il va conserver, à la tête de ses goums, cette tenue rouge, qui aux yeux de tous le fera reconnaître comme : « Bou vesta hamra ».

Désormais Henri de Bournazel est définitivement conquis par le Maroc ; après un séjour de six mois, il embarque à nouveau sur le Volubilis pour répondre à l’appel du « baroud », cette fois-ci dans la région du Riff, où le célèbre Abdelkrim El Khattabirassemble les résistants.

C'est dans les goums qu'il va servir, en tenue d'officier spahi. Certains de ses compagnons affirment alors que « sa tunique est enchantée » en raison de sa chance au combat. Il connaît des heures exaltantes, mais aussi la trahison de certains partisans. Pourtant son expression favorite reste en toutes occasions : « La vie est belle ! »

Après son mariage en octobre 1927 avec Irnis Lahens (1904-1987), il passe quelques années en France, est promu capitaine, mais ne résiste pas à l'appel du Maroc lorsque des opérations sont décidées dans la région du Tafilalet, repaire de dissidents, à la fin de l'année 1931.

Une fois le Tafilaletconquis et pacifié, Henri de Bournazel en est nommé administrateur, et se révèle aussi remarquable dans la gestion et l'aménagement que dans le combat.

Mais l'occupation du territoire par le makhzenet les troupes françaises n'est pas totale dans le Sud marocain et une dernière opération d'envergure se prépare pour prendre d'assaut le djebel Saghro(dans l'Anti-Atlas). C'est là que résident les derniers groupes de résistants de la tribu Aït Attamenés par le cheikh Assou Oubasslam.

Les opérations commencent le 13 février 1933; le 21, Henri de Bournazel entraîne ses hommes à la conquête d'un piton rocheux « La Chapelle ». Le 28 février, obéissant à l'ordre du général Giraudde recouvrir d'une djellaba sa tunique rouge, il monte à l'assaut de Bou Gafer et tombe, blessé une première fois, rassemble ses hommes, repart à la charge, mais est atteint à nouveau. Il meurt de ses blessures, le 28 février 1933, en plein djebel Sargho.

à voir

à lire

  • Henry Bordeaux,Henry de Bournazel, Le Cavalier Rougeou L’Epopée marocaine, Henri de Bournazel, Paris, Plon, 1935 et 1941.

  • Paluel-Marmont,Bournazel, l’homme rouge, Paris, Denoël (collection La Fleur de France, Les grands capitainesn°8), 1942.

  • Albert Réche, Bournazel, le cavalier rouge, Paris, Edition des loisirs (collection L’Ame de la France), 1943 (réédité 1946).

  • Jean d'Esme,Bournazel, l'Homme Rouge, 1952.

  • Maurice Grolleau, Trois héros de France: un fidèle, Charles d’Artagnan, Un ange victorieux, Hélène Boucher, Un chef, Henri de Bournazel..., Saïgon, L. Feuillet, sans date.

  • Germaine de Bournazel : Le cavalier Rouge, édition France Empire 1971

 

CHARLES-DE-FOUCAULT (rue) - nommée en 1966 - lotissement Dax Afrique et des pins - Le nom de Charles de Foucauld a ete donne a I'ecole maternelle et elementaire de Cendrillon (dax au fil des rues - centre genealogique des Landes)


 l'arrayade et le centre jean paul II

Arrayade :en gascon : rayonnement de soleil entre les nuages. L'image a ete prise ici dans son acception religieuse pour baptiser les batiments de I'ancien seminaire.
(Dax au fiI des rues - centre genealogique des Landes)

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