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CIRCUIT 2 :  au centre du quartier 

entre la rue des Cités, la rue d'Aspremont et la rue Joseph de Laurens

8 - rue de Cités nommée en            (1056 m.)

 

            Après le 25  rue Joseph de Laurens, la rue des cités, considérée comme un  lieu-dit,  témoigne de la vie des cités ouvrières des mines de potasse et de la fonderie Boulard qui a construit les logements où habitent encore les enfants et petits enfants des anciens ouvriers.

            Cette rue a ceci de particulier qu'elle fait se cotoyer cette ancienne cité ouvrière, toute en longueur, avec portes et fenêtres identiques semblables aux corons du Nord,  avec de récents pavillons.

 

VOIR :

            En face du n° 23, un chemin de terre conduit aux jardins ouvriers fondés par la Caisse d'Epargne

 

LIRE : 

9 - rue de LA TORTE  nommée en 1961 (294 m.)

 

en gascon torte signifie boiteuse, torteuse. La rue a donné son nom au quartier.

 

VOIR :

 

LIRE : 

10 - rue JEAN DE LA FONTAINE  nommée en            (140 m)

 

poète français très renommé,  né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris pour ses Fables. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste.

Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et malgré des oppositions, il est reçu à l'Académie française en 1684. Mêlé aux débats de l'époque, il se range dans le parti des Anciens dans la fameuse Querelle des Anciens et des Modernes.

 

VOIR :

 

LIRE :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_de_La_Fontaine

11 - impasse des FABLES  nommée en         (37 m.)

 

LIRE

 

les fables http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/fables.htm

 

12 - route de CANARIN nommée en 1970 (518 m.)

 

lieu-dit et nom de ferme dans le anciens plans de la ville - en gascon : canaris ou lieu où on trouve des canaris

 

VOIR

 

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13 - rue BOILEAU  nommée en         (299 m.)

 

Nicolas Boileau, quinzième enfant de Gilles Boileau, greffier de la Grand' Chambre du Parlement de Paris,dit aussi Boileau-Despréaux, ou encore le « législateur du Parnasse » est né le 1er novembre 1636 à Paris et décédé le 13 mars 1711 à Paris,  est un poète, écrivain et critique français. Qu'a-t-il fait pour  nommer une rue de Dax ? probablement être un grand penseur des lumières.

N'est-ce pas lui qui a dit : 

14 - rue RACINE  nommée en            (1066 m.)

Dramaturge et poète français, Jean Racine né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 dans une famille de petits notables, est décédé à  Paris le 21 avril 1699. L'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France.

Orphelin, il est éduqué par les « Solitaires » de Port-Royal et reçoit une solide éducation littéraire et religieuse Il choisit ensuite de se consacrer à la littérature et particulièrement au théâtre . Il sera soutenu par le jeune roi Louis XIV, tandis qu’il se brouille avec Molière.

 

LIRE :

 

VOIR : l'association culturelle "la ferme de la Torte"  et ses activités, en particulier  les foulées de la Torte,  parcours à travers les rues du quartier, 5 à 10 kilomètres dans un paysage magnifique.   http://www.octemps.fr/DAX.html - contact Jean-pierre Palis  Tél:   06 42 87 02 84 courriel :   jeanmariejo40@orange.frpierrette.lile@wanadoo.fr

 

15 - impasse des NOISETIERS  nommée en           (180 m.)

 

 

16 - rue des TOURNESOLS  nommée en 1970 (271 m.)

 

 

17 - rue du MIDI nommée en 1970 (65 m.)

 

 

  18 - rue de BEAUSOLEIL  nommée en 1970 - voie sans issue (270 m.)

19 - rue ALFRED DE VIGNY - nommée en            (345 m.)

Alfred Victor Vigny puis comte de Vigny, né le 27 mars 1797 à Loches (Indre-et-Loire) dans une famille d'une ancienne militaire, est mort le 17 septembre 1863 à Paris, 8e.

            Figure influente du romantisme, il écrit parallèlement à une carrière militaire entamée en 1814 et où il restera quinze ans sans combattre. Il fréquente le milieu littéraire parisien et en particulier Victor Hugo et publie ses premiers poèmes en 1822. Avec la publication de Cinq-Mars en 1826, il participe au développement du roman historique français. Ses traductions versifiées de Shakespeare s'inscrivent dans le drame romantique, de même que sa pièce Chatterton (1835). Son œuvre se caractérise par un pessimisme fondamental, et une vision désenchantée de la société. Il développe à plusieurs reprises le thème du paria, incarné par le poète, le prophète, le noble, Satan ou bien le soldat. Sa poésie est empreinte d’un stoïcisme hautain, qui s’exprime en vers denses et dépouillés, souvent riches en symboles, annonçant la modernité poétique de Baudelaire, Verlaine et Mallarmé.

 

 

De 1822 à 1838, il écrit des poèmes (Poèmes antiques et modernes), des romans (comme Stello), des drames (comme La Maréchale d’Ancre) et des nouvelles (Servitude et grandeur militaires) qui lui apportent la célébrité. En 1838, après une rupture sentimentale avec Marie Dorval et la mort de sa mère, Alfred de Vigny s'installe pour la première fois au Maine-Giraud, son domaine situé en Charente. Il goûte à la solitude et prend soin de sa femme malade et constamment alitée. De retour à Paris, il se mêle de nouveau à la vie politique et littéraire. Il parvient en 1845 à se faire élire, au bout de la cinquième tentative, à l'Académie française. En revanche, candidat en Charente, il échoue à la députation lors des élections de 1848.

Par la suite, il effectue plusieurs séjours au Maine-Giraud, avec Mme de Vigny pour seule compagnie, mais vit surtout à Paris. Il écrit peu, publie rarement, mais médite et lit beaucoup. Il meurt d’un cancer de l’estomac, après une lente agonie qu’il supporte avec patience et stoïcisme. Son recueil posthume Les Destinées est publié en 1864. Son Journal est révélé en 1867. (Wikipedia)

20 - rue LOUIS BLANC  nommée en               (460 m.)

bus : couralin n° 4 : Sopal

Avec Louis Blanc, on retrouve un natif de la région pour une rue où se trouve les industrices qu'il a fondées.   -  né à Orthez, Pyrenees-Atlantiques, le 26 mars 1912 et décédé à Dax, le 22 fevrier 1979). Industriel et banquier. - Né d'un pere bearnais, avocat et conseiller general, et d'une mere landaise, de la famille Massie, de Habas, Louis Blanc, apres avoir fait ses premieres etudes au college Moncade a Orthez, les termina a Bordeaux puis a Paris. Ingenieur agronome, dip16me de I'ecole superieure du Bois, garde general des Eaux et Forets a Epinal et a Mont-de-Marsan, Louis Blanc devint tout afait landais par son mariage en 1938 avec une Dacquoise, MIle Pelletier. Apres la guerre, qu'il fit I'annee suivante comme commandant d'une section de radiogoniometrie aupres du gene'ral directeur des Transmissions du G.G\G" il quitta les Eaux et Forets pour prendre en 1953 la gerance de la banque Pelletier-Dupuy a Dax. Nomme en 1957 president des Papeteries de Gascogne, vice-president du Comptoir des produits resineux, vice-president puis president de la Societe des derives resiniques et terpeniques, au deces du president dans I'economie regionale, il fut appele, en 1959, a la presidence d'Expanso, societe de developpement regional pour Ie Sud- Ouest, a laquelle il insuffla une activite importante et utileau maintien et a la creation d'industries nouvelles. II tint une place de premier plan dans les instances professionnelles de la Papeterie a l'echelon national, et aussi   I'etranger ou il avait cree plusieurs filiales de ses diverses societes, en particulier en Espagne et au Portugal. Tres conscient des problemes de la sauvegarde du patrimoine, il avait cree la delegation landaise des « Vieilles maisons françaises » et avait ete nomme administrateur du journal Sud-Ouest. Homme de grande intelligence et de vaste culture, Louis Blanc, unanimement regrette, fut Ie principal artisan du developpement de l'economie landaise et regionale. II etait chevalier de la Legion d'honneur, croix du Combattant 1939-1945(officier de 1'0rdre national du Merite et officier du Merite agricole. (memoire des Landes - Bernadette Suau) (à la découverte de Dax. B.Suau)

 

                                                                    Louis Blanc à son bureau des papeteries de Gascogne

VOIR

au n° 1 de la rue Louis Blanc, se trouve la fabtrique de papier d'emballage  Gascogne Laminates Sopal

au n° 27 A les ateliers de la ville

LIRE

MEMOIRE DES LANDES - Bernadette Suau - , Dictionnaire biographique, 348 p., ill., relié, Mont-de-Marsan, 1991

21 - Rue d'ASPREMONT  nommée en 1961 (2297 m.)

 

ASPREMONT D'ORTHE (Famille d') (XIème-XVleme s.). La forteresse d'Aspremont située au sommet de la colIine dominant Peyrehorade fut construite en 1010 par Loup Garcia. Jusqu'a sa démolition en 1567, par Ie comte de Montgomery, eIIe servit d'habitation à la puissante lignée des vicomtes d'Orthe. Partisan du roi d'Angleterre, Richard d'Aspremont ne put empêcher Ie vicomte de Bearn de détruire chateau en 1247. Après sa reconstruction, Arnaud-Raymond y reçut en 1367 Ie Prince Noir et Don Pédro de Castille pour négocier avec Charles Ie Mauvais, roi de Navarre, Ie passage des troupes anglaises par les Pyrénées. - Parmi la liste des vicomtes d'Orthe, le plus célèbre fut Adrien d'Aspremont, né vers 1509. Page à la Cour de France, ami de François 1er et de Henri II, il suit en Espagne François 1er, prisonnier de Charles-Quint, après avoir été battu  à Pavie. II en revient en 1529, pour aller combattre en Italie, d'ou il ramènera Nicolina de Burdis, dont il eut deux enfants. Nommé gouverneur de Bayonne, il défendit la ville contre les Espagnols. II fut conseiller de la reine Catherine de Médicis ; celle-ci lui remit Ie collier de l'ordre de Saint-Michel. Lieutenant général du roi en Navarre, gouverneur de la frontière, il lutta contre Jeanne d'Albret au cours des guerres de Religion. Aussi, Ie terrible connétable de Montmorency, profitant de sa presence à Bayonne, vint-il ravager la région de Peyrehorade et incendier le chateau, laisse sans défense. Après cela, le vicomte d'Orthe fit construire au bord du Gave l'actuel chateau de Peyrehorade, ou il mourut Ie 20 mars 1578 et ou demeurèrent ses descendants jusqu'a la Révolution. Le protestant Agrippa d'Aubigné fait étât d'une lettre que Ie gouverneur de Bayonne aurait écrite au roi Charles IX, en refusant d'assassiner les protestants de la ville, mais l'original n'ayant pas été retrouvé, l'on pense qu'il s'agit d'un faux. De caractère violent et cruel, Adrien d'Aspremont fut en lutte constante avec le corps des notables de la ville de Bayonne et Charles IX dut intervenir pour Ie prier de « se conformer honnestement et avec douceur » avec les habitants de la ville. Un Roger d'Aspremont fut abbé de Saint-Sever (XVI° siècle). (memoire des Landes - Bernadette Suau)

VOIR

MEMOIRE DES LANDES - Bernadette Suau - , Dictionnaire biographique, 348 p., ill., relié, Mont-de-Marsan, 1991LIRE

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